Espagne

En sortant de notre visite de la Casa Mila, nous nous dirigeons vers le port et hop, la Sagrada Familia nous appelle… Nous n’aurons pas le temps de la visiter, mais on fait des repérages pour la prochaine fois…! Je l’ai vu il y a des années et même si elle était déjà en rénovation, nous avions pu monter en hauteur. La Sainte famille de son nom en français est une basilique dont la construction a commencé en 1882. C’est LE MONUMENT de la vile de Barcelone et même de l’Espagne.

En sortant de la zone du Palais de la musique Catalane, nous faisons 6 minutes de vélo et nous tombons sur « la Pedrera », surnom catalan signifiant carrière de pierre. Le joli nom est la casa Mila du nom de son propriétaire, commanditaire des travaux en 1905. Cet édifice est devenu au fil du temps l’emblème de l’art catalan et l’un des sites touristiques les plus visités dans Barcelone. A l’époque la construction était loin de faire l’unanimité, très controversée par les habitants et par des échanges nourris avec la municipalité d’alors.

A la faveur d’un rendez-vous professionnel, je me suis rendue à Barcelone. Comme je n’ai que 4 heures de temps libre. Faire du vélo dans Barcelone-Le quartier gothique, j’ai optimisé mon tour à vélo pour faire une boucle en partant du port. J’ai erré dans le quartier gothique, et le palais de la musique catalane. Ensuite je vous invite à lire les articles sur les sujets suivants : la casa Mila et  la Sagrada Familia. Après une excellente nuit dans le port de Sitges, désertée par les touristes, nous repartons à Barcelone et nous découvrons le quartier gothique  autrement nommé Barri Gotic, car situé sur des vestiges romains et rebâti au moyen âge. Il est tôt et nous ne sommes pas du tout à l’heure espagnole. Trouver un endroit ouvert et bon pour le petit déjeuner est une gageure… et pourtant nous avons passé un excellent moment au Black Remedy d’abord grâce au décor issu d’un mélange d’industriel et de contemporain avec un brin de déco-maison, qui confère à l’endroit un aspect intimiste. Ensuite la qualité du café est excellente si bien que nous en avons pris plusieurs, le choix est soit filtre, soit  expresso, noir, allongé, il y a le choix dans les grains, bref les amateurs trouveront leur bonheur, mais il y …

Pour visiter la ville, 2 à 3 jours suffisent, il y a plein de choses à voir et déambuler dans les rues à toute heure en toute sécurité est facile, la ville cultive une effervescence positive, les sévillans sont fiers de leur ville, des jeunes et des touristes mais pas de foule compacte. Nous avons pris deux appartements l’un de quatre places et au-dessus un studio.

La place d’Espagne ( laza de Espana) est une construction originale et qui est aujourd’hui devenue un des sites incontournables de Séville. D’abord en raison de son architecture, un demi ovale de grande dimension puisqu’elle fait environ 200 m et aussi par son décor d’une grande diversité de Azuleros et de mosaïques.

La tour del Oro offre un joli point de vue lorsque l’on est en haut, sur la ville mais aussi sur le canal Alphonse XIII. Cette tour militaire est une construction de style Almohade.De là, nous partirons visiter une des arènes les plus anciennes d’Europe, La Real Maestranza de Caballeria.

L’Alcazar est avant tout une construction d’origine Omeyyade aux environs de 850 après J.C, c’est à dire une branche dissidente des Abassides qui a conquit la péninsule ibérique. Lorsque Les troupes de Ferdinand III envahissent Séville pour chasser les arabes, la ville est ornée de somptueux palais. Sous Alphonse X, Séville devient la résidence des rois catholiques et aujourd’hui encore, la famille régnante occupe un étage de ce splendide palais.

« En avril, ne te découvre pas d’un fil » ne signifie pas rester caserné chez soi, aussi avons-nous décidé de passer un week-end à Bilbao. Notre première intention était de visiter le musée Guggenheim, fleuron mondialement connu grâce surtout à son architecture résolument moderne sous la houlette de Franck Gehry. Cela a insufflé à la ville un nouvel essor touristique et permis à de nombreux bâtiments de suivre une voie architecturale moins classique. Bilbao est ainsi redevenue une destination incontournable du Pays Basque.

Lors d’une de nos virées, nous avons obliqué vers le jardin de cactus et la fondation de César Manrique. Nous n’avons pas été déçues. Il faut compter une heure pour la visite. L’entrée est payante et on sent la « patte » de l’artiste César Manrique.

En février dernier, pendant que certains hommes de la famille tentaient de faire de la glisse dans les Pyrénées, nous sommes parties entre filles aux Canaries. Un petit vol de Bordeaux en direct avec une arrivée à Fuerteventura, il est clair que s’agissant de low-cost, il n’est pas sûr que ces mêmes trajets fonctionnent toutes les années.