Paris à vélo

Ce matin, levée de bonne heure, je file jusqu’à la Place Vendôme, nous sommes samedi 8h30, personne ou presque, je m’attarde et observe que cette place est juste magnifique, tout est ordonnancé de manière délicate, raffinée, équilibrée, bref je suis fan et je vous rassure que les bijoutiers alentours n’y sont pour rien, mais la majesté du lieu oui. je file prendre un petit déjeuner chez Angelina et ensuite je fais du vélo jusqu’à la Fondation Vuitton.

Ce matin, je prends le vélo et me rends à Beaubourg, on dit Beaubourg alors que c’est le nom du quartier où le centre Pompidou est situé. Ce musée d’art contemporain accueille entre 3,5 et 3,8 millions de personnes par an et au vue de la file d’attente, je suis encore heureuse d’avoir pris un e-billet pour l’exposition Magritte qui ouvre jusqu’au 23 janvier 2017 avec des nocturnes tous les jeudis soirs jusqu’à 23h, c’est très sympa.

J’ai toujours eu envie de visiter ce musée, très intéressée par les arts asiatiques en général. Aujourd’hui, il pluivotte aussi avec mon vélo, c’est inconfortable, je suis heureuse de me mettre à l’abris. Le musée a fait peau neuve en 200. Il y a des visites guidées proposées pour expliquer les différents courants religieux bouddhisme, hindouisme ( Shiva : dieu de la destruction, Brahma : dieu de la création, Vishnou : dieu de la protection) et la route de la soie ainsi que les principales pièces du musée.

C’est l’automne, je profite d’une opportunité pour passer deux jours à Paris. Cela fait une année que je n’y suis pas allée et j’ai très envie de me faire quelques expositions telle celle d’Hergé au grand Palais ou celle de Magritte à Beauboug, mais en même temps je vais commencer par visiter le musée du quai Branly que je ne connais pas.

Si je suis allée à Paris c’est aussi parce que dans mon top ten des choses à voir et à faire, il y avait l’exposition Hergé au Grand Palais. Et oui, c’est vrai je suis fan et depuis fort fort longtemps. Donc j’ai pris soin d’acheter mon billet à l’avance car le e-billet évite les files d’attente. Cette exposition dure jusqu’au 15 janvier 2017, ensuite, il faudra aller à Bruxelles au musée Hergé.