Deuxième jour sur le sol islandais, nous prenons un solide petit déjeuner, oeufs, gaufres, servi avec de très bons produits locaux. Nous avons prévu de faire la cascade de Haifoss car c’est la seconde cascade la plus haute de l’île avec 122 mètres. Elle se trouve à 1h15 de la maison d’hôte, mais il parait que la route est enneigée. Tant pis, nous partons et sommes coincés à l’embranchement pour aller vers Haifoss, là-haut 1 mètre de neige nous disent les locaux.
Lire la suite...Ce matin en partant de notre hôtel (voir article précédent), nous allons au plus bas de notre prévisionnel de circuit, c’est à dire voir le lac glaciaire Jokulsarlon, ce lac de 18 km2 et 260 m de profondeur avec des petits icebergs dessus. On reprend la voiture et on roule… Cependant notre attention est attirée avant d’arriver au lac de Jokulsarlon par un panneau bleu qui indique qu’il y a quelque chose à voir, on prend le chemin 998 en quittant le route 1.
Lire la suite...Ce matin, petite promenade alentour, on entend les caquètements des oies qui sont par milliers dans les champs. Après un solide petit déjeuner nous partons faire une balade à quelques kilomètres de notre maison d’hôte Guesthouse Vellir. En bord de route 1, à la hauteur de la route 221, un panneau annonce « Wreck plane », on gare la voiture et on se fait une marche sportive de 50 minutes pour atterrir sur une carcasse d’avion
Lire la suite...Ce matin après une bonne nuit, et un bon petit déjeuner, nostalgiques de notre bain d’hier, nous décidons de faire une petite randonnée pour essayer des bains en pleine nature. Nous essayons des bains du côté de Hveragerdi. Pour y arriver, il faut aller au nord de la ville, passer le terrain de football et suivre la route de Reykjadalur, là il y a un parking et une petite guitoune de café
Lire la suite...Nous sortons et contemplons cette ville que nous ne connaissons pas. Le premier constat est que c’est une ville jeune et le concept architectural vaut pour l’île, pas ou peu de briques ou de pierres, ou de tuiles, mais de la tôle ondulée ou du bois avec certainement des isolants car les maisons sont très bien chauffées. Bon, la centrale géothermique de Svartsengi à Grindavik alimente, le chauffage urbain c’est sûr et l’eau sanitaire. En y repensant, l’eau de la douche dans notre appartement de Reykjavik a une odeur un peu soufrée.
Lire la suite...Lorsque j’ai commencé ce livre, je ne l’ai plus jamais lâché, doublement sachant qu’il était le récit vrai d’une pianiste d’exception. L’auteur Zhu Xiao Mei nait en 1949 à Shanghai, enfant surdouée, elle étudie à Pékin au conservatoire jusqu’à la révolution culturelle exigée par Mao qui l’envoie pendant 6 ans aux confins du pays pour se rééduquer. Cette histoire est celle d’une vie, certes, une vie d’exception mais au travers de ce récit particulièrement émouvant à plus d’un titre, il y a également l’histoire de la fondation de la Chine.
Lire la suite...Lors d’une de nos virées, nous avons obliqué vers le jardin de cactus et la fondation de César Manrique. Nous n’avons pas été déçues. Il faut compter une heure pour la visite. L’entrée est payante et on sent la « patte » de l’artiste César Manrique.
Lire la suite...En février dernier, pendant que certains hommes de la famille tentaient de faire de la glisse dans les Pyrénées, nous sommes parties entre filles aux Canaries. Un petit vol de Bordeaux en direct avec une arrivée à Fuerteventura, il est clair que s’agissant de low-cost, il n’est pas sûr que ces mêmes trajets fonctionnent toutes les années.
Lire la suite...César Manrique était originaire de Lanzarote, ce touche à tout, à la fois sculpteur, peintre et architecte, était un incontournable de notre séjour, un peu de culture surtout en vacances, c’est indispensable.
Lire la suite...Nous filons vers Solenzara et les aiguilles de Bavella, comme disent les corses: » si tu ne connais pas la montagne corse, tu ne connais pas la Corse ». C’était prévu dans notre circuit, nous arrivons vers bavera, et faisons une petite randonnée paisible vers le trou de la Bombe.
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